Pétasite hybride

Petasites hybridus (L.) G.Gaertn., B.Mey. & Scherb., 1801

Classe : Equisetopsida Ordre : Asterales Famille : Asteraceae Sous-Famille : Asteroideae Tribu : Senecioneae Genre : Petasites
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  • 199
    observations

  • 48
    communes

  • 34
    observateurs

  • Première observation
    1816

  • Dernière observation
    2022
Albisson Antoine - Anthelme Fabien (cbna) - Armand Michel (gentiana) - Aubenas André (rbalp) - Bianchin Agnès (cd38) - Bidat Matthieu (bureau D'études Rupea) - Chatenier Constant Xavier (inconnu) - Chenevier Danièle (inconnu) - Dautrey Aurélien (inconnu) - Fabre Bernard (réseau Botanistes Cbna) - Fournier Magalie (cbna) - Garraud Luc (cbna) - Gattus Jean-christophe (cbna) - Gourgues Frédéric (gentiana) - Grange Benjamin (gentiana) - Jaeger Nicolas (nicolas Jaeger Flore-habitats) - Le Roux Marie (mlr-environnement) - Leroy David - Marquis Frédéric (cbna) - Mary Etienne (inconnu) - Messean Adrien (inconnu) - Mikolajczak Alexis (cbna) - Misset Claude (société Botanique De La Drôme) - Mutel Pierre Auguste (inconnu) - Pache Gilles (cbna) - Perroud Louis (inconnu) - Posocco Camille (gentiana) - Sanz Thomas (cbna) - Schleicher Jorg (fne Ain) - Tison Jean-marc (inconnu) - Van Es Jérémie (cbna) - Verlot Jean-baptiste (inconnu) - Villaret Jean-charles (cbna) - Vincent Benoît (société Botanique De La Drôme)

Informations espèce

Comme chez les autres pétasites, les fleurs du pétasite hybride commencent à pousser avant les feuilles. La tige fleurie, entièrement pourpre rougeâtre, se développe tandis que les feuilles émises par une tige souterraine poussent peu à peu. La tige, portant quelques écailles foliacées, donne un épi de nombreux capitules aux fleurs rosâtres et peut atteindre 80 cm de haut. Les feuilles circulaires deviennent très grandes (60 cm de diamètre). Source : Parc national des Ecrins
Le pétasites hybride pousse en grandes colonies dans les lieux humides : bords de rivières ou de fossés, mouillères … Il ne dépasse pas 1500 m d'altitude. Parfois nommé pétasite officinal, il a été utilisée contre la peste au Moyen-Âge ainsi que pour d'autres affections. On sait depuis qu'il n'a aucun effet sur la peste, mais ses propriétés antispasmodique, analgésique et anti-inflammatoire sont aujourd'hui reconnues. Source : Parc national des Ecrins
Fossés et canaux | Prairies humides, mégaphorbiaies et roselières | Ripisylves
Eurasiatique
Cineraria hybrida (L.) Bernh., 1800 | Petasites consimilis Jord. ex Nyman, 1879 | Petasites georgicus Manden., 1947 | Petasites giganteus Fuss, 1866 | Petasites hybridus (L.) G.Gaertn., B.Mey. & Scherb., 1801 subsp. hybridus | Petasites intermedius Hoppe ex Nyman, 1879 | Petasites major Cariot & St.-Lag., 1889 | Petasites officinalis Moench, 1794 | Petasites officinalis proles reuterianus (Jord.) Rouy, 1903 | Petasites officinalis subsp. foemina (Hayne) Wender., 1846 | Petasites officinalis var. hybridus (L.) P.Fourn., 1939 | Petasites ovatus Hill, 1756 | Petasites pratensis Jord., 1852 | Petasites reuterianus Jord. | Petasites riparius Boreau, 1857 | Petasites vulgaris Desf., 1799 | Tussilago elongata Salisb., 1796 | Tussilago hybrida L., 1753 | Tussilago kablikianus Opiz, 1852 | Tussilago petasites L., 1753

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles