Bruant fou

Emberiza cia Linnaeus, 1766

Classe : Aves Ordre : Passeriformes Famille : Emberizidae Genre : Emberiza
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  • 882
    observations

  • 81
    communes

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  • Première observation
    1998

  • Dernière observation
    2024
10003 - 10420 - 10459 - 11018 - 11037 - 1110 - 11333 - 1159 - 11737 - 1192 - 1207 - 1286 - 1308 - 1317 - 13185 - 133 - 1374 - 1386 - 1439 - 147 - 1473 - 1591 - 1595 - 1613 - 1628 - 16420 - 1643 - 16449 - 1716 - 183 - 18721 - 18769 - 190347 - 1955 - 2151 - 21559 - 2166 - 21969 - 22753 - 22891 - 22898 - 22939 - 236 - 2379 - 2478 - 2498 - 2589 - 2596 - 2606 - 2621 - 2705 - 2782 - 281 - 2844 - 2884 - 2904 - 312 - 3120 - 3167 - 3306 - 343 - 3720 - 3754 - 4088 - 4139 - 4167 - 443 - 4459 - 4497 - 4632 - 4877 - 488 - 4897 - 4947 - 4992 - 5036 - 5138 - 5203 - 531 - 534 - 542 - 5525 - 568 - 583 - 5942 - 6103 - 653 - 658 - 671 - 6902 - 7148 - 739 - 7780 - 7892 - 823 - 8335 - 8487 - 8500 - 860 - 8831 - 885 - 939 - 940 - 9604 - 973 - 9852 - Andrieux Jean - Anonymisé - Barrot Florian - Caullireau Guy - Delalande Lucas - Fourgous Bernard - Goyot Anika - Hamel Céline - Leroy David - Michel Louise - Noblet Jean-françois - Non-renseigné - Prouveur Marc - Renoud Nicolas

Informations espèce

Très discret, ce passereau de la taille d'un moineau passe facilement inaperçu. Son dos est brun strié de noir, son ventre roux. Gorge et tête sont gris argent, cette dernière ornée de trois bandes noires de chaque côté permettant de l'identifier facilement. La femelle se discerne peu du mâle, légèrement plus terne et avec les motifs de la tête plus diffus. Le bruant fou est sédentaire, se réfugiant toutefois dans les vallées ou les plaines en hiver. Source : Parc national des Ecrins
Cette espèce a une préférence pour les pentes bien ensoleillées, rocailleuses avec une végétation de buissons et d'arbres. On peut l'observer du collinéen au subalpin, parfois plus haut. En dehors de la période de reproduction, le bruant fou se déplace par petites troupes. Il est alors trahi par ses cris de contact, de petits « tsi » aigus. Le chant du mâle quant à lui, émis depuis le sommet d'un buisson ou d'un arbre, est agréable, avec un début de strophe hésitant mais il n'est guère remarquable. Source : Parc national des Ecrins
Clapiers d'épierrement | Friches et broussailles | Landines de haute altitude | Lisières et clairières | Rochers embroussaillés | Vergers et vignes
Eurasiatique
Pas de synonymes pour ce taxon

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Observations mensuelles