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  • 92
    observations

  • 26
    communes

  • 48
    observateurs

  • Première observation
    1985

  • Dernière observation
    2023
1159 - 1397 - 1473 - 3120 - 4897 - 500 - 5036 - 6869 - 860 - Abel-coindoz Rémi - Andrieux Jean - Anonymisé - Arnaud J - Arnaud J (prenom Manquant) (inconnu) - Arnaud Josselin - Bobey Didier (inconnu) - Celeyron A(prenom Manquant) (inconnu) - Celeyron Ariane - Chevreux Fabrice - Couvent S (prenom Manquant) (inconnu) - Couvent Sabine - Deliry Cyrille - Deliry Cyrille (inconnu) - Deliry Héloïse - Faton Jean-michel - Faton Jean-michel (inconnu) - Foglar Helene (inconnu) - Formation Cpie - Foulon David - Funkiewiez (prenom Manquant) (inconnu) - Galland Nicolas - Garel Mathieu - Garin C (prenom Manquant) (inconnu) - Inconnu (inconnu) - Mathieu Roger - Nelly (prenom Manquantâ ? Ou Zannoni Christian - Pissavin Stephane (inconnu) - Pont Bernard (inconnu) - Riaille Axelle - Schleicher J (prenom Manquant) (inconnu) - Schleicher Jörg - Thiery Coralie (inconnu) - Turiault M - Turiault M (prenom Manquant) (inconnu) - Turiault Melanie (inconnu) - Vachoux C (prenom Manquant) (inconnu) - Zannoni Christian - Zannoni Nellyâ ? Doute) (inconnu)

Informations espèce

L’agrion nain est une petite libellule au corps bleu et noir chez le mâle. Toutes les libellules du genre Ischnura ont les ptérostigmas des ailes bicolores. Mais, chez l'agrion nain, ces ptérostigmas sont plus grands aux ailes antérieures qu'aux ailes postérieures, critère surtout bien marqué chez les mâles, ce qui rend la détermination des femelles du genre Ischnura réservée aux spécialistes. On la trouve jusqu'à 1 000 m dans les grandes vallées. Source : Parc national des Ecrins
Cette demoiselle est une espèce pionnière. Ainsi on peut la trouver dans des milieux nouvellement crées puis disparaître l'année d'après. De façon pérenne, on la trouve dans des tourbières, étangs, fossés ou dans les grandes vallées où coulent des rivières dynamiques comme la Durance. L'adulte y recherche alors des mares régulièrement « nettoyées » par les crues printanières, où poussent des joncs, support de la ponte. Ces mares, ainsi rajeunies et débarrassées de toute concurrence, sont choisies par les adultes pour la reproduction, surtout si leur profondeur est faible. Le développement larvaire étant l'un des plus rapides chez les libellules, on pourra alors y observer deux générations par an. Source : Parc national des Ecrins
Fossés et canaux | Tourbières | Lacs et mares | Rivières et torrents
Eurasiatique
Agrion aurantiaca Selys, 1837 | Agrion cognata Selys, 1840 | Agrion pumilio Charpentier, 1825 |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles